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La Psychogénéalogie

La psychogénéalogie propose de découvrir les évènements qui, vécus par nos aïeux, pourraient avoir une résonance dans notre  vie ici et maintenant.
 

Pour cela un des outils principaux est le "Génosociogramme”, créée par Anne Ancelin-Shützenberger qui permet de rélèver et de clarifier les coïncidences de dates et d’âge chez divers membres d’une même famille. Cet arbre généalogique thérapeutique est constitué des faits marquants et des évènements importants, heureux ou malheureux, sur plusieurs générations ...

► Quels sont ces faits marquants malheureux ?

► Deuil(s) non-fait(s).

► Ressentiments liés à des spoliations familiales.

► Secret de famille considérés comme honteux (meurtre, inceste, prison...).

► Mère en dépression- Échecs sentimentaux...

Le travail de recherche généalogique va consister à interroger les membres de sa famille, à vérifier les différentes sources d'informations, actes d'état civil, actes notariés, registres militaires ou même article de presse, pour recontextualiser l'évènement.

 

Ce travail permet d'obtenir de précieuses données et nous renseigne sur les lieux de vie de nos aïeux, leur environnement, les membres de leur famille, leur métier... Et les rapprochent de nous et nous aident à mesurer leurs difficultés, dessinant ainsi les contours de vies souvent dures, traversées par la violence des conflits et des deuils précoces.

L'étude de l'arbre généalogique apporte parfois son lot de surprises...

 

La psychogénéalogie ou analyse transgénérationnelle permet donc de travailler à la fois sur notre vécu personnel, «nos valises» mais aussi celles que nous portons malgré nous, héritées de nos ancêtres. Ces valises sont constituées d'évènements qui, tellement douloureux et indicibles, n'ont pu être acceptés du vivant de nos aïeux et ainsi continuent, tels des fantômes, de hanter la psyché familiale.

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Nous devons à Freud le concept d'inconscient et à Jung celui d'inconscient collectif. D'autres psychanalystes dans les années 60 et 70 comme Jacob Levy Moreno, Françoise Dolto , Nicolas Abraham et Maria Torok, et dans les années 80, Didier Dumas, Serge Tisseron... Ont mis au jour le champ des mémoires transgénérationnelles. Mais c'est la psychologue Anne Ancelin-Schützenberger qui a permis à un large public de connaître la psychogénéalogie par le biais de son ouvrage paru en 1993 "Aïe mes aïeux !"

 

«La psychogénéalogie, c'est d'abord assumer le passé mais aussi

butiner le jardin familial pour en faire son miel».

Anne Ancelin-Schützenberger

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